"L'Union européenne devrait favoriser... l'utilisation des patrimoines criminels confisqués au bénéfice de la communauté" cit. Commission européenne contre le crime organisé

vendredi 10 août 2012

Nîmes : machines à sous... un suspect veut être libéré


Hier, la chambre de l’instruction avait à examiner la demande de remise en liberté d’un homme impliqué dans un réseau d’exploitation de machines à sous illégales placées dans des cafés de la région.

Interpellés dans un bar de Pujaut

Le 12 juin dernier, les gendarmes ont lancé un vaste coup de filet et interpellé une série de suspects suite à une longue enquête, démarrée en 2010 après un renseignement anonyme informant les enquêteurs de l’existence d’un réseau de machines implantées dans le Gard, le Vaucluse et les Bouches-du-Rhône.
Les recoupements, surveillances et écoutes téléphoniques ont permis d’identifier les cafés - et les tenanciers - où les jeux étaient installés, les placiers et les organisateurs de ce système.
Le jour des arrestations, menées par les gendarmes du groupement du Gard, du groupement d’intervention régionale (GIR) de Montpellier et le service national des douanes judiciaires de Marseille, les deux principaux instigateurs du réseau sont interpellés dans un bar de Pujaut alors qu’ils viennent relever les compteurs.
Les perquisitions permettent de découvrir huit machines à sous, une grosse BMW (50 000 €), un fourgon, près de 20 000 € en liquide, une montre de luxe, des biens immobiliers (environ 350 000 €). Les indices récoltés un peu avant l’été conduisent à la mise en examen de plusieurs suspects épinglés pour infractions aux jeux illégaux. Pour lire la suite...

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