On continu |
Le trafiquant tué mercredi à Marseille qui se sentait menacé avait demandé un aménagement de peine qui lui avait été refusé. Le délinquant assassiné de deux décharges de fusil de chasse, mercredi midi, dans la cité des Oliviers à Marseille
se sentait en danger de mort. Selon nos
informations, Khemissi Amari, alias Been, 23 ans, avait rencontré la
semaine dernière une juge d'application des peines (JAP) pour lui
demander de pouvoir bénéficier du bracelet électronique. Le trafiquant,
qui était en semi-liberté depuis le mois de janvier à la suite d'une
condamnation à 4 ans de prison pour avoir transporté 120 kilos de
cannabis depuis l'Espagne,
craignait de regagner à heures fixes le centre pénitentiaire des
Baumettes. "Je ne vis plus, je ne dors plus la nuit. Ils vont me tuer",
avait-il déclaré à la juge, selon un proche. Mais la magistrate avait
refusé son aménagement de peine pour les huit mois qu'il lui restait à
purger. Du coup, le trafiquant avait demandé par courrier à être
réincarcéré totalement. La décision était en attente. On connaît la
suite...
Lié à l'affaire de la BAC nord ?
Been avait
défrayé la chronique en étant un temps soupçonné du meurtre de Lyes
Gouasmia, le fameux dealer et indicateur de la BAC nord, dont le corps a
été découvert carbonisé dans une BMW près de Vitrolles en septembre 2008. Lire la suite...
Contre les biens mal acquis : la réutilisation des biens confisqués
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire