La démocratie à l’épreuve de la corruption

Anticor, contre la corruption

Vidéos en lien ci-dessous de la conférence " la démocratie à l'épreuve de la corruption", organisée en octobre dernier par Survie, Attac, Anticor, Aitec, CCFD, Flare, Publiez ce que vous payez, les Congolais de la Diaspora, Sherpa et le Syndicat de la magistrature.

Depuis plusieurs années, un climat délétère pèse sur la vie politique, les intérêts privés prenant le pas sur l’intérêt général, et la confusion des pouvoirs financier et politique aboutissant à leur collusion. Avec la crise, l’intransigeance face à de tels comportements ne fait que s’accroître : il est urgent d’agir.

Les conflits d’intérêts, les lobbies incontrôlés, le cumul des mandats facilitent fraude et corruption. Des infractions graves ne sont pas poursuivies par le parquet : l’affaire des biens mal acquis, les scandales récurrents de financements françafricains et d’évasion fiscale, en sont des exemples emblématiques. La justice est souvent entravée dans les affaires politiques ou économiques sensibles, au mépris du principe d’égalité de tous devant la loi.

Les Etats s’exonèrent de leur responsabilité en matière de régulation des entreprises transnationales.  Et, alors que le territoire européen devient un espace économique unifié, la coopération judiciaire est trop souvent inefficace en matière économique et financière. L’austérité ne peut pourtant pas être imposée au plus grand nombre alors que les gouvernements ne s’attaquent pas à ce qui permet à quelques uns d’accaparer la richesse.

Mais l’adoption rapide de quelques mesures simples pourrait être la première traduction d’une nouvelle volonté politique partagée. Ces mesures ne coûtent rien et peuvent même être profitables en termes économiques. Mais surtout, elles sont des étapes essentielles pour rétablir la confiance dans la démocratie. En savoir plus...

Haute-Saône : braquage au camion-grue

Ça faisait longtemps

Des malfaiteurs ont arraché un distributeur de billets avec la façade dans laquelle il était encastré. Pour un butin de 22 000 euros.

Des voleurs ont arraché mercredi un distributeur automatique de billets de banque à l'aide d'un camion-grue en Haute-Saône, avant de prendre la fuite avec 22 000 euros de butin, selon une source judiciaire. Plusieurs hommes ont utilisé un camion-grue, volé dans une commune voisine, pour arracher le distributeur de Dampierre-sur-Salon (Haute-Saône) vers 3 heures du matin mercredi, a indiqué à l'AFP le procureur de Vesoul Jean-François Parietti.

Le distributeur, accolé à une agence Crédit agricole, a été extrait de sa cavité, et la façade a été entièrement arrachée, a constaté un correspondant de l'AFP. Les voleurs ont abandonné le camion-grue dans le secteur et ils ont pris la fuite à bord de trois voitures volées, dont deux ont été retrouvées calcinées, l'une en Haute-Saône et l'autre plus au sud de la région, dans le Jura. En savoir plus

Les solutions : L’arme qui peut tuer la mafia : la réutilisation des biens confisqués

ou Contre le crime organisé : pour une confiscation-redistribution 

Marseille : le dealer assassiné avait demandé la protection de la justice

On continu

Le trafiquant tué mercredi à Marseille qui se sentait menacé avait demandé un aménagement de peine qui lui avait été refusé. Le délinquant assassiné de deux décharges de fusil de chasse, mercredi midi, dans la cité des Oliviers à Marseille

se sentait en danger de mort. Selon nos informations, Khemissi Amari, alias Been, 23 ans, avait rencontré la semaine dernière une juge d'application des peines (JAP) pour lui demander de pouvoir bénéficier du bracelet électronique. Le trafiquant, qui était en semi-liberté depuis le mois de janvier à la suite d'une condamnation à 4 ans de prison pour avoir transporté 120 kilos de cannabis depuis l'Espagne, craignait de regagner à heures fixes le centre pénitentiaire des Baumettes. "Je ne vis plus, je ne dors plus la nuit. Ils vont me tuer", avait-il déclaré à la juge, selon un proche. Mais la magistrate avait refusé son aménagement de peine pour les huit mois qu'il lui restait à purger. Du coup, le trafiquant avait demandé par courrier à être réincarcéré totalement. La décision était en attente. On connaît la suite...

Lié à l'affaire de la BAC nord ?

Been avait défrayé la chronique en étant un temps soupçonné du meurtre de Lyes Gouasmia, le fameux dealer et indicateur de la BAC nord, dont le corps a été découvert carbonisé dans une BMW près de Vitrolles en septembre 2008. Lire la suite...

Contre les biens mal acquis : la réutilisation des biens confisqués  

ou  Contre le crime organisé : pour une confiscation-redistribution

Fusillade à Nîmes : le quadragénaire interpellé a été écroué

La Bac surprise

Un homme de 40 ans a été écroué ce dimanche soir à Nîmes, après une fusillade avec les forces de l'ordre qui a éclaté dans le quartier chic du golf de Vacquerolles vendredi.

Les policiers de la PJ de Montpellier ont conduit ce dimanche au palais de justice de Nîmes un homme suspecté d’être impliqué dans la fusillade qui s'est produite vendredi soir, dans un quartier résidentiel de la ville. Un échange de six coups de feu a éclaté entre des policiers de la brigade anti-criminalité et des malfrats. La Bac intervenait car des voisins avaient aperçu deux hommes au comportement étrange. L’un d’eux était peut-être armé d’une barre de fer.

Armés jusqu’aux dents dans un quartier chic de Nîmes

Quand la police est arrivée, elle s’est retrouvée face à un homme armé d’un fusil à pompe qui les a mis en joue. À cet instant, la fusillade a démarré. L’homme au fusil a réussi à s’enfuir en abandonnant son arme chargée de quatre cartouches. Un autre suspect a été arrêté, un pistolet 7,65 mm a été retrouvé près de lui. Il n’aurait pas ouvert le feu. La PJ cherche à savoir ce que ces deux hommes venaient faire dans ce quartier chic de Nîmes armés jusqu’aux dents. Une Mégane volée, qui leur a peut-être servi, a également été saisie par la police qui a découvert à l’intérieur une bouteille en plastique remplie d’essence.
Les deux suspects ont été vus près d’une résidence où habite parfois une figure du milieu nîmois de la nuit. Mais cet élément peut relever d’une coïncidence car ce quartier a déjà été la cible de vols violents.
 La piste d'un règlement de comptes privilégiée Lire la suite...

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Assassinat d'un ouvrier agricole en Corse : possible affaire de racket

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L'homme tué à l'arme à feu dans la nuit de samedi à dimanche devant son domicile en Haute-Corse était un ouvrier agricole. La piste crapuleuse, voire une  affaire de racket organisé, serait privilégiée.

Âgé de 48 ans, d'origine marocaine et en situation régulière, il dînait samedi soir avec son frère dans une maison de Prunelli-di-Fiumorbo (Haute-Corse), à 100 km au sud de Bastia dans la Plaine orientale de l'île. Selon les premiers éléments, deux individus ont fait irruption pour leur voler de l'argent tandis qu'un troisième faisait le guet dehors, armé d'un fusil de chasse. Son frère étant frappé, la victime est sortie de chez elle et c'est là qu'elle a reçu le tir mortel.

Racket fréquent d'ouvriers agricoles

Pompiers et gendarmes ont été alertés par un tiers prévenu par le fils du frère de la victime, qui lui-même avait été appelé. L'enquête de flagrance pour «homicide volontaire en réunion» ouverte par le parquet de Bastia a été confiée à la brigade de recherches de Ghisonaccia, où des faits similaires s'étaient produits en août 2012: un homme d'origine maghrébine braqué à son domicile par deux agresseurs cagoulés avait alors été blessé par balle. En savoir plus...

En 2012, le nombre de personnes tuées ou blessées en Corse avait explosé.

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La revue n°4 de l'OGC est sortie !

Le mardi 5 février sortait la 4ème revue de l'OGC (Observatoire Géopolitique des Criminalités ). Les précédentes revues s'étaient déjà faites remarquées par la diversité des sujets traités et surtout par les réflexions qui accompagnaient les articles de ladite revue. Ainsi, et pour reprendre les mots de son actuel président (C-H de Choiseul Praslin), cette revue "est elle-même plurielle, puisqu’elle publie aussi bien des dépêches, hebdomadaires, d’actualité, que des informations et des enquêtes approfondies faites pour l’essentiel par des journalistes, ainsi que des analyses faites pour l’essentiel par des chercheurs, à un rythme mensuel : cette pluralité forme sa raison d’être." (source : site de l'OGC)

Les articles présentés traitent de sujets précis mais variés en passant de la réhabilitation de la feuille de coca aux Andes à la cybercriminalité, le tout ponctué par des articles plus théoriques ayant pour but (et nous citons encore une fois le président de l'OGC) de : "promouvoir plusieurs méthodes d’observations pour approcher ces trous noirs" (NB : on parle ici des vides juridiques, mais aussi d'espaces, de situations, de contextes encore inconnus ou trop peu étudiés).

Ainsi, la quatrième publication de l'OGC s'annonce d'ors et déjà des plus intéressantes, avec un édito complet et varié.

Cette revue est notamment la dernière dont l'accès reste gratuit, les prochaines revues deviendront payantes, alors n'hésitez pas à la consulter pour vous faire une idée du travail de l'OGC. De plus, l'OGC prévoit l'ouverture d'un blog, "La Gazette des criminalités" ou le débat sera ouvert sur des thèmes récurrents relatifs à la criminalité tel que le narcotrafic, etc...

Si tout cela n'a pas réussi à vous convaincre, l'accès à la revue n°4 de l'OGC est ouvert à tous et à toutes. Faites vous donc votre propre opinion ici.

A Marseille : 402 kilos de cannabis saisis dans le coffre d'un citroen C5. La Police stoppe le "GO Fast"

Sacré chargement!

Allées et venues suspectes, grosses cylindrées et des heures de surveillance.

La police judiciaire et la brigade des stupéfiants ont arrêté deux hommes à St Just à Marseille alors qu'ils garaient dans un box une grosse voiture, le genre de voiture qu'on emploie pour revenir d 'Espagne, en convoi rapide, très rapide, avec dans le coffre une livraison à faire de drogue. Un " go fast ". La police recherche l'autre voiture, une Audi A3. Les deux hommes ont été incarcérés.

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Compte rendu projection "argent sale" du Mercredi 13 Février

Ce mercredi 13 février s'est tenue la projection "Argent Sale", un documentaire de Nicolas Glimois, suivi d'un débat organisé et administré avec soin par Fabrice Rizzoli (Représentant FLARE France & auteur du "Petit dictionnaire énervé de la Mafia") ainsi que par Maria Chiara Prodi (de chez "Libera")

De plus, étaient entre autres présents et pour ne citer qu'eux : Maria Ze (Meet up), Charles Henri Choiseul de Praslin (OGC) Marianne Ranke-Cormier (Newropean),etc... . La projection une fois finie, les débats se sont donc orientés dans un premier temps autour du documentaire en lui même et du blanchiment d'argent dans le monde, et notamment de l'argent sale des mafias !

Puis, accompagnés par Fabrice Rizzoli, les débats se sont orientés vers le système juridique français, notamment quant à l'indépendance des procureurs et à l'ouverture d'une procédure similaire à "l'association mafieuse" (cf. association criminelle) déjà installée en Italie entre autre !

Le tout s'étant déroulé dans l'ambiance intime d'Ethicando, accompagné de produits issus de terres confisquées aux mafias.

N'hésitez pas à consulter régulièrement le site du FLARE pour vous tenir au courant des prochains évènements.

Pierrefitte-sur-Seine : qui en veut aux ouvriers du chantier ?

Intimidation, Racket...

Blême, l’ouvrier raconte : « On était en train de préparer le café quand un homme, grand, costaud, le visage caché, est entré. Il n’a pas dit un mot et il a tiré. Je me suis jeté au sol pour me protéger. » Il en a réchappé de justesse, une des balles a transpercé son pantalon. Mais ses deux collègues qui travaillaient avec lui hier sur un chantier de rénovation urbaine à la cité des Poètes à Pierrefitte (Seine-Saint-Denis) ont été blessés aux jambes par le tireur qui a fait irruption vers 7h30 du matin dans le local de chantier. Les deux victimes, le chef du chantier et un conducteur de travaux, âgées d’une cinquantaine d’années, ont été opérées et leurs jours ne sont pas en danger.

Selon les premiers éléments de l’enquête confiée au service départemental de la police judiciaire (SDPJ), l’agresseur, casqué et cagoulé, aurait tiré à quatre ou cinq reprises avant de prendre la fuite à bord d’un scooter conduit par un complice. Une balle a été trouvée sur place et l’arme utilisée pourrait être un revolver.

Fin 2012, un conducteur de travaux avait été agressé dans ce même local par cinq jeunes qui lui avaient dérobé son ordinateur et son téléphone portable. Suite à ces faits et à l’incendie, le 31 décembre, de deux engins d’une autre société de BTP, une réunion de crise avait eu lieu en janvier à la préfecture de Bobigny. Depuis, la police avait renforcé ses patrouilles et la situation semblait s’être apaisée. « On ne s’attendait pas à un tel acte de violence », reconnaît Michel Fourcade, maire et conseiller général. « Il y a bien eu des altercations avec des jeunes, mais aucune menace particulière », renchérit Ali Gök, le directeur général de la société de BTP Coredif. En savoir plus...

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Un nouvel assassinat à Ajaccio

Nouvel assassinat

Un homme qui circulait en voiture sur le boulevard Pascal Rossini dans le centre d'Ajaccio, à proximité du rectorat de Corse, a été pris pour cible par un tireur à moto, peu avant 11 heures ce mardi matin.

Dominique Laorenzi, gérant du pub Saint James à Porticcio, a été tué sur le coup. Il s'agit de la deuxième victime d'homicide dans l'île depuis le début de 2013. La suite

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Réorganisation des forces de police à Marseille

Avec l'affaire de la BAC nord, Marseille qui était déjà une ville mouvementée ( rappelez-vous, le décompte était porté à 24 tués entre janvier et novembre 2012 ) avait été propulsée sous le feu des projecteurs et avait fait l'objet d'une attention toute particulière de la part du gouvernement. 

Ainsi, les mesures escomptées pour contrer le crime organisé Marseillais semblent prendre forme :

Un nouveau préfet de police, un nouveau directeur départemental de la sécurité publique ainsi qu'un certains nombres de responsables accompagnés de 229 agents de police étaient déjà venus rejoindre les rangs des forces de police Marseillaises.Et ce n'est pas tout, un système de vidéo surveillance ainsi que la mise sous Zones de Sécurité Prioritaire (ZSP) d'une quarantaine de cités viennent compléter ces importantes dispositions dans le cadre de l'objectif prononcé par le Ministre de l'intérieur Manuel Valls : "assurer la tranquillité à laquelle les marseillais aspirent". 

Ces mesures apparaissent justifiées lorsque l'on sait que Marseille est une plaque tournante du crime organisé et notamment du trafic de stupéfiants. Transformée en zone de combat pendant une période de quasiment six mois, le désordre avait notamment profité à l'expansion des dealers auprès des populations les plus pauvres. 

Cette affaire, si elle ne peut être comparée à la corruption d'agents de tous les niveaux comme en Italie par exemple reste quand même à prendre en compte à un niveau national, la Brigade anti criminalité française n'en étant pas à sa première tache sur le tableau d'honneur. 

( témoignage d'un dealer de Marseille )

( cf : assassinat d'un dealer à Marseilles )

(suite de l'article)

Opération anti-drogue à Avignon, le trafic passait par la prison du Pontet

Jackpot autour d'Avignon

Hier, près de 250 gendarmes ont procédé à des interpellations dans des quartiers sensibles d'Avignon et de sa périphérie. Objectif : faire tomber plusieurs trafics de stupéfiants qui avaient fini par franchir les portes de la prison. L’affaire a été rondement menée. Hier matin, dès 6 h, les gendarmes ont frappé fort en Vaucluse. Plus de 150 militaires, renforcés par plus de 50 gendarmes mobiles de Marseille et une dizaine d’équipes cynophiles venues de toute la région Provence-Alpes-Côtes-d’Azur, mais également du Gard, ont débarqué aux quatre coins d’Avignon, à Sorgues, Sarrians et Monteux afin de procéder à l’interpellation d’une vingtaine de personnes suspectées de faire partie d’un vaste trafic de stupéfiants.

Des détenus interpellés dans leur cellule 

Également parmi les suspects, au moins cinq d’entres-eux sont détenus à la prison du Pontet à Avignon. Ils ont été arrêtés dans leur cellule. C’est d’ailleurs le fait que le trafic franchisse si facilement les murs du centre pénitentiaire du Pontet qui a poussé le groupement du Vaucluse à mettre en place une opération d’une telle envergure. Lire la suite...

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Union Européenne : " l'intégration de la criminalité organisée asiatique [...] dans la sphère criminelle"

Cela faisait quelque temps que nous parlons de la criminalité organisée asiatique en expansion dans l'Union Européenne et en France (notamment dans les domaines du proxénétisme et de la drogue). A cette heure, la mondialisation et l'ouverture du monde aux mafias et réseaux criminels profitent donc à des organisations peu connues des services de renseignements européens et nationaux telles que les yakuzas japonais ou les triades chinoises. 

L'exportation internationale que connait actuellement le crime organisé asiatique en Europe et en Amérique du nord n'était évidente que dans des cas isolés comme le Canada (cf le COSA). Cependant, depuis 2011, un rapport du parlement européen dénonce "l'invasion des mafias asiatiques en Europe". Les chiffres sont parlants : 

- 250 000 immigrés Vietnamiens en France en 2006 ( cf p.6 )

- 700 000 immigrés Chinois en France en en 2005 (cf p.6) 

Tout cela pour un total d'environ 8 millions d'immigrés en Europe et tout en considérant que les sources datent de 2009. 

Diversifiées et professionnelles, les mafias asiatiques prospèrent en Europe et notamment en France ou elles exercent à merveilles des activités liées à la drogue, la prostitution, le travail illégal, etc... Toute cette activité qui engrange des centaines de millions par an selon les enquêteurs est presque inconnue des services de Police nationaux. En effet la particularité des réseaux criminels asiatiques est leur discrétion et leur fonctionnement autarcique, contrairement à d'autres mafias plus "violentes" comme les réseaux Corses et Italiens.

La question des mafias asiatiques en Europe se doit donc d'être étudiée, et ce avant que la population asiatique, très attachée à ses valeurs culturelles, ne choisisse les mafias au détriment du pouvoir civil pour assurer la sécurité comme elle l'a déjà fait auparavant(Au japon, les Yakuzas ont remplacé la police la plupart du temps jusqu'à la loi antigang de mars 1992 !)

Mercredi 13 février : "agent sale" avec Nicolas Glimois

Projection/ Débat

FLARE France / ETHICANDO / OGC/  Anticor / Démocrates Paris / Newropeans / FocusIn / Altritaliani / Meet up Paris

Venez découvrir les coulisses du documentaire L'argent sale

produit par Mano à Mano 

Mercredi 13 février 2013 
20H

ETHICANDO
6 rue de la Grange aux Belles 75010 Paris
Métros Bonsergent/République/Gare de l'Est/Colonel Fabien

Entrée libre, consommation antimafia obligatoire :)

Nicolas Glismois

Débat avec Nicolas GLIMOIS, Journaliste et réalisateur de nombreux documentaires
il écrit par exemple les scénarios pour "Faites entrer l'accusé"

En présence de Fabrice Rizzoli consultant et auteur du Petit dictionnaire énervé de la mafia

Modération Maria Chiara Prodi Libera France

La banque américaine Wachovia a blanchi 378 milliards dollars des cartels mexicains. La justice Italienne a saisi pour 11 milliards d'avoirs criminels en deux ans.

Comment filmer cette réalité?

Fabrice Rizzoli

Nicolas Glimois a interviewé Francesco Forgione (cf.Mafia export), le maire de Naples Luigi de Magistris (cf.Lobbying antimafia à Bruxelles) ; des observateurs du monde criminel tels que les essayistes Jean-François Gayraud (cf. De La Cosa Nostra...) et Xavier Raufer ; des « activistes » antimafia comme Ilaria Ascione et Stefan Gisler ; les spécialistes de la finance Martin Woods, John Christensen et les magistrats Roberto Di Palma (cf.Vengeance..., Jean de Maillard (cf.L’Arnaque) et Eric de Montgolfier. 

Une soirée autour des produits faits sur des terres confisqués aux mafias:)

Trafic d'armes : des figures du grand banditisme interpellées

Belle découverte à Tramoyes

Seize personnes sont actuellement en garde à vue et interrogées par les policiers de la PJ Lyonnaise et de l'Office central de lutte contre le crime organisé (OCLCO), selon des informations recueillies par Europe 1. Un coup de filet opéré mardi et mercredi à Lyon, Marseille et  Benidorm

(Espagne) dans le milieu du grand banditisme.

Les enquêteurs ont interpellé des figures biens connues de leurs services, notamment les frères Bellanger et Karim Maloum, surnommé «le gros», d'ex-membres de la «Dream Team». Ce gang de braqueurs s'est rendu célèbre dans les années 1990 et 2000, notamment par l'attaque d'un fourgon blindé de la Brink's à Gentilly (Val-de-Marne). 

Un arsenal découvert dans un entrepôt

Tout a commencé avec la découverte en mars 2012 d’une importante cache d’armes dans un entrepôt de Tramoyes, près de Lyon. Des gendarmes avaient mis la main sur un arsenal impressionnant : une trentaine d’armes (fusils, kalachnikovs, pistolets automatiques), des grenades, cinq kilos d’explosifs ou encore quatre voitures de grosse cylindrée. De quoi équiper un commando d’une douzaine de malfaiteurs. Après huit mois d’enquête et grâce notamment aux analyses de traces ADN relevées sur les armes saisies, les enquêteurs sont parvenus à identifier une quinzaine de suspects. En savoir plus...

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Démantèlement d'un réseau soupçonné d'avoir truqué 380 matches de football

La Champions league serait en-tâchée!

L'Office européen de police Europol indique lundi avoir démantelé un réseau criminel soupçonné d'avoir truqué 380 matches de football. Des rencontres de Ligue des Champions et de qualification pour la Coupe du monde seraient notamment en cause. Quelque 425 arbitres, dirigeants de clubs et joueurs, sont soupçonnés, on ne connaît pas pour l'heure leurs nationalités. 

"Il nous semble clair qu'il s'agit de la plus grande enquête de tous les temps sur des matches truqués présumés", indique le directeur d'Europol, Rob Wainwright. 

L'Office européen de police indique lundi avoir démantelé un réseau criminel soupçonné d'avoir truqué 380 matches de football, dont des rencontres de Ligue des Champions et de qualification pour la Coupe du monde.

Lors d'une conférence de presse à La Haye, Rob Wainwright a indiqué que 425 arbitres, dirigeants de clubs et joueurs, sont soupçonnés d'avoir pris part au trucage des matches. On ne connaît pas pour l'instant leurs nationalités. http://www.franceinfo.fr/justice/demantelement-d-un-reseau-soupconne-d-avoir-truque-380-matches-de-football-882401-2013-02-04

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Lyon: 820 kg de résine de cannabis retrouvés dans une BMW X6

La BMW était farcie

C’est la seconde grosse prise de l’année pour la police judiciaire. Ses services viennent de mettre la main sur 820 kg de résine de cannabis qui étaient stockés dans une BMW X6 garé dans le 5ème arrondissement de Lyon. Le véhicule aurait été utilisé comme «go fast». Cette saisie importante a eu lieu à Lyon dans le 5e arrondissement, le 4x4 était stationné dans un box. Lorsque les policiers ont perquisitionné la grosse cylindrée, ils ont trouvé une trentaine de «valises marocaines», désignant le mode de conditionnement de la résine (cf. Trafic de cannabis en France)
Le parquet du Jirs (Juridiction interrégionale spécialisée) de Lyon avait ouvert le 24 janvier une information judiciaire pour «importation, transport, détention, offre et cession de résine de cannabis» et «association de malfaiteurs».
Une femme, liée à la personne dont dépendait le box, a été interpellée et placée sous contrôle judiciaire après avoir été mise en examen pour «association de malfaiteurs».
Cette drogue devait alimenter l’agglomération lyonnaise : La suite  

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