L'équipe de FLARE soutient Anticor, ici attaqué pour son combat contre la corruption
COMMUNIQUE DE PRESSE d'Anticor
Madame Séverine TESSIER, porte-parole de l’association Anticor (cf.Soirée Anticor-ruption) a été mise en examen pour diffamation le 17 décembre 2013 par le juge d’instruction du TGI de NICE à la suite d’une plainte avec constitution de partie civile de Monsieur Christian ESTROSI Maire de la ville.
Madame Séverine TESSIER, porte-parole de l’association Anticor (cf.Soirée Anticor-ruption) a été mise en examen pour diffamation le 17 décembre 2013 par le juge d’instruction du TGI de NICE à la suite d’une plainte avec constitution de partie civile de Monsieur Christian ESTROSI Maire de la ville.
Il lui reproche des propos qu’elle a tenus dans le journal Nice Matin le 30 mai aux termes desquels Madame TESSIER indiquait:
“Le maire s’est engagé un peu tard à dénoncer les derniers emprunts toxiques contractés par la ville. “Pour avoir jeté un oeil à la délibération qui sera présenté lundi, j’estime qu’il ne faudrait pas que la dette soit renégociée. Il faut demander la nullité pure et simple. Et elle doit être élargie à l’ensemble des dettes et contrats restructurés qui sont autant toxiques. “Si aucune action n’est menée d’ici le 17 juin, les emprunts toxiques seront prescrits. Il ne s’agit plus de dire mais de faire”. “Il s’agit là d’un financement à taux variable qui ne peut être considéré comme structuré. Mais en externalisant le problème, se pose une question de fond : quid de la maîtrise démocratique puisque la ville est garantie dans l’emprunt dans ce partenariat…? Devra-t-elle par exemple, mettre la main à la poche si des surcroît surviennent dans deux ou trois ans ?”
“Le maire s’est engagé un peu tard à dénoncer les derniers emprunts toxiques contractés par la ville. “Pour avoir jeté un oeil à la délibération qui sera présenté lundi, j’estime qu’il ne faudrait pas que la dette soit renégociée. Il faut demander la nullité pure et simple. Et elle doit être élargie à l’ensemble des dettes et contrats restructurés qui sont autant toxiques. “Si aucune action n’est menée d’ici le 17 juin, les emprunts toxiques seront prescrits. Il ne s’agit plus de dire mais de faire”. “Il s’agit là d’un financement à taux variable qui ne peut être considéré comme structuré. Mais en externalisant le problème, se pose une question de fond : quid de la maîtrise démocratique puisque la ville est garantie dans l’emprunt dans ce partenariat…? Devra-t-elle par exemple, mettre la main à la poche si des surcroît surviennent dans deux ou trois ans ?”
Cette décision porte une atteinte grave à la liberté d’expression. Un appel a été interjeté.
La suite en cloquant : Anticor
Contact presse : Jérôme Karsenti T. 06 64 77 71 21
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