Le gouvernement va signer le décret sur les
"coopérateurs" de justice. Libération
Attention, ne pas employer terme "repentis".
Les repentis n'existent pas. On est pas à l'Eglise!
Attention à ne pas
utiliser le terme de "collaborateur" de justice car l'emploie
du mot "collaboration" en France fait perdre la bataille des idées.
Il
faudra dire "coopérateur" de justice si on veut faire accepter ce
dispositif qui comporte trois avantages majeurs :
1. Une meilleure
connaissance d'un phénomène clandestin. Or, ne ne combat que ce qu'on
connaît.
2. La réduction de l'impunité face au crime de sang commis par
des professionnel. Pas de témoignages de sicaires : pas de règlements de
compte résolus.
3. Le renforcement de l'Etat de droit qui va protéger
des criminels professionnels en rupture avec leur milieu et promis à une
mort certaine. Si la vie d'un homme à de la valeur. l'Etat de droit se
doit de protéger tout citoyen (et sa famille) qui décide de respecter
les règles communes sous certaines conditions.
Il faudra aussi créer un
statut pour les témoins innocents et la réutilisation sociale des biens
confisqués.
Sans l'implication de la société civile, la lutte contre le crime organisé est voué à l'échec
Sans l'implication de la société civile, la lutte contre le crime organisé est voué à l'échec
Les
biens des trafiquants doivent être confisqués et redistribués à la
société civile pour devenir un centre culturel, une école de la seconde
chance ou centre de soin pour toxicomanes
Contre les biens mal acquis : la réutilisation des biens confisqués
ou Contre le crime organisé : pour une confiscation-redistribution
Contre les biens mal acquis : la réutilisation des biens confisqués
ou Contre le crime organisé : pour une confiscation-redistribution
Dans cette vidéo : pas de collaborateur de justice italien : pas de résolution du meurtre en France :
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